L'équipage

Un équipage de personnes avant d’être des représentants
Dans l’aventure France Territoriale, il n’y a ni tour d’ivoire, ni grands timoniers. Il y a d’abord des femmes et des hommes. Des personnes. Avant même d’être des représentants d’une administration, d’une association, d’un collectif citoyen ou d’une entreprise, nous sommes d’abord des êtres engagés, curieux, aux avis divers, mais toujours en mouvement.

L’équipage de France Territoriale est composé d’agents et de cadres de la fonction publique – territoriale et d’État –, de membres d’associations, de mouvements citoyens, de structures privées, de chercheurs, d’animateurs de réseaux… Un équipage bigarré, hétérogène, aux expériences variées, mais réuni par une conviction commune : il est temps de penser et d’agir autrement.

Face aux défis écologiques, sociaux et démocratiques de notre époque, nous ne pouvons plus nous contenter de répondre chacun dans notre coin. Les postures institutionnelles, les silos organisationnels, les rivalités de chapelles : tout cela nous ralentit, et parfois nous isole. Il nous faut maintenant coopérer vraiment, non pas en discours, mais en actes. Non pas plus tard, mais maintenant.

Mettre en commun, sortir des logiques de guichet
Ce qui nous anime, ce n’est pas une énième plateforme ou une “boîte à outils” de plus. Ce que nous cherchons à faire émerger avec France Territoriale, c’est un commun vivant, un espace où les ressources, les savoirs, les expériences de terrain peuvent être partagés librement, sans barrières artificielles.

Nous croyons qu’il est possible de mettre en commun ce que nous avons déjà – nos idées, nos méthodes, nos échecs, nos réussites – pour aller plus loin, ensemble. Non pas en additionnant les compétences, mais en tissant des liens de confiance, en donnant le droit à l’essai, en acceptant de ne pas tout maîtriser.

Une gouvernance à inventer, des pratiques à incarner
L’équipage France Territoriale n’a pas encore de pavillon officiel, ni de gouvernance toute faite. Et c’est tant mieux. Nous avançons par petits pas, dans une forme de “bac à sable” fertile, en expérimentant des formes nouvelles de collaboration.

Ce que nous partageons, c’est une intention sincère : celle d’inventer des façons plus ouvertes, plus horizontales, plus agiles de construire l’action publique. Cette intention, nous voulons l’incarner dans nos façons de faire, dans notre manière de décider ensemble, de produire ensemble, de documenter ensemble.

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